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29 janvier 2014
« Que ce soit un terminal de croisières en Nouvelle-Écosse, un quai de pêche à Terre-Neuve, un quai de traversier au Québec, un quai commercial en Ontario, une installation de plaisance en Alberta ou une base navale en Colombie-Britannique, l’objectif ultime de tous les responsables de ces actifs est commun : construire et maintenir des installations essentielles, sécuritaires et durables. »
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Aujourd’hui, en raison du vieillissement des infrastructures portuaires partout dans le monde, il est essentiel de comprendre leur état actuel et d’adopter des stratégies rentables pour réparer et entretenir ces actifs. Au cours des dix dernières années, des travaux d’envergure ont été réalisés sur les mécanismes responsables de la détérioration des structures exposées à des environnements agressifs et sur la manière de produire des rapports sur l’état et la performance.Récemment, une nouvelle génération de modèles de détérioration et d’approches de gestion fondées sur les risques ont vu le jour et sont utilisées dans des projets, en combinaison avec un système d’information géographique (SIG) à la fine pointe de la technologie, afin d’aider les propriétaires et les ingénieurs des ports à optimiser les fonds disponibles pour que leurs actifs restent aussi sécuritaires et compétitifs que possible.
M. Burns a présenté le système de gestion des actifs maritimes, le WSMS (Waterfront Structure Management System) qui est maintenant au cœur du processus de prise de décisions dans l’un des plus grands ports au monde. Les participants ont pu bénéficier des enseignements tirés lors de l’implantation d’un tel système et ont pu appréciés que les obstacles auxquels le Port de Rotterdam ont fait face sont similaires à ceux qu’ils peuvent eux-mêmes rencontrer dans leurs propres ports. La présentation a passé en revue chacune des étapes du processus de développement et de l’implantation du système et des bénéfices à court, à moyen et à long terme