Viaduc de la route 21 du NJDOT

Évaluation de l’état actuel et de la durée de vie utile, et recommandation d’une stratégie de réfection

Lorsqu’une inspection visuelle de routine d’un viaduc de la route 21, à Newark, a révélé une fissuration et une dégradation importantes du béton, le Département des transports du New Jersey (NJDOT) a cherché de l’aide pour trouver des stratégies de remédiation.

SIMCO a été appelé pour participer à une évaluation de l’état actuel du viaduc de la route 21 pour le compte du NJDOT. Ce viaduc, construit en 1953, se trouve entre le cimetière de Mount Pleasant et la rivière Passaic.

L’étude a principalement porté sur les éléments en béton et comprenait une inspection visuelle des surfaces supérieures, inférieures et latérales ainsi que des poutres. Des échantillons de béton ont été extraits des endroits représentatifs de la structure afin de caractériser le béton et déterminer les mécanismes de dégradation. Cette analyse a permis aux experts en matériaux de SIMCO de déterminer que la structure était principalement affectée par la réaction alcali-silice. Ce phénomène est causé par la présence d’un granulat réactif et d’éléments très humides au sein du béton.

Des calculs numériques ont été effectués à l’aide du logiciel de modélisation prédictive STADIUM® de SIMCO afin de déterminer s’il était possible de prolonger la durée de vie utile du viaduc de 25 ans.

La méthodologie de SIMCO a révélé que les dommages étaient localisés et que la détérioration future pourrait être contrôlée à peu de coûts grâce à des stratégies de remédiation simples. Les simulations numériques effectuées avec STADIUM® ont indiqué que la structure destinée à la démolition pouvait être sauvée, et qu’une prolongation de la durée de vie utile de 25 ans était possible avec un programme de réparation et d’entretien rentable.

« Cette analyse et les recommandations formulées par simco nous ont fait économiser des millions de dollars en réparation et éviter de remplacer complètement le pont, une option estimée à plus de 100 millions de dollars. L’analyse a été utilisée pour déterminer que le remplacement n’était pas nécessaire et que des réparations de la structure pouvaient être effectuées, ce qui donne au njdot de 25 à 30 ans de vie utile supplémentaire à une fraction du prix. »

Brian Strizki, ingénieur du NJDOT